A force de lire la presse israélienne tous les matins depuis 7 ans, j'ai constaté qu'être le descendant du Rambam, de Baba Salé et d'Enrico Macias n'allait pas m'aider à être journaliste en Israël. Je me voyais en bas de l'affiche à chanter tous les jours "j'ai quitté mon pays" dans une Makolet de Dimona . Donc aujourd'hui, Yoni Scherrer est né, l'Ashkénaze de la Goulette. Yoni Scherrer c'est le Haaretz du sport "rak leanachim to corrr".