Bienvenue… à Gaza.
Au début pour tromper l’ennui puis ensuite pour des raisons de survie, Ahmed Algharaiz s’est mis à danser. Avec son frère, ils ont créé une compagnie de break dance, et réalisent des vidéos sur les ruines de la bande. Leur centre ayant été détruit dans les bombardements, ils se sont mis à danser au milieu des gravats, et diffusent des vidéos hypnotiques, lunaires.
Distraction pour les enfants, occupation pour les plus grands… cette troupe suscite curiosité et admiration des gazaouis désoeuvrés.
Même à Gaza, pas d’amalgames, nous trouvons que ces jeunes qui choisissent la danse plutôt que les armes sont une belle note d’espoir dans un monde assombri par un conflit interminable.
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