[avatar user= »sophie.roots » size= »thumbnail » align= »left » link= »https://rootsisrael.com/auteur/sophie-t/ » target= »_blank »]SOPHIE TAIEB[/avatar] Vous en avez rêvé ? Les twittos l’ont fait. C’est une fessée déculottée que vient de se prendre le BDS en croyant pouvoir mener une action à Paris, pas plus tard que mardi. 
Rappel des faits : mardi, une twittos se fait livrer des courses du Monoprix, Paris Courcelles. Habituée des lieux avec ses collègues, elle attend tranquillement sa commande.
Et là, dites nous pas que c’est pas vrai, dans sa commande, gît un tract du BDS. Vous savez ? Le BDS, cette organisation opaque à l’indignation sélective qui passe ses week ends à crier devant les rayons cachers et les supermarchés leur haine d’Israël. Le BDS, cette organisation qui promeut un boycott illégal d’Israël. Le BDS, cette organisation qui envoie des menaces aux artistes qui ont envie de venir jouer en Israël. Le BDS, ce regroupement de paumés en keffieh qui refusent les médicaments Teva tout en utilisant leurs smartphones aux composants israéliens. Voilà, le BDS quoi.
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Qu’à cela ne tienne, notre twittos aussi intrépide qu’en colère lance un appel sur les réseaux sociaux :
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Le soir même, la directrice du magasin, contactée par la victime, promet d’investiguer (et commence à mettre en cause la société de livraison, prestataire de Monoprix).
Les internautes décident alors de se mobiliser, et de demander des comptes à Monoprix. Non seulement le boycott est illégal, mais en plus la lâcheté du « militant » qui le glisse dans un sac de courses en dit long sur son courage. Pendant la soirée, des groupes s’organisent pour préparer le lendemain.
Mercredi, une vague de tweets est lancée pour demander à Monoprix dans quelle mesure ils cautionnent ce qui vient de se passer.
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Les réponses ne se font pas tarder : que ce soit Monoprix ou le transporteur, ils promettent de tirer cette affaire au clair.
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Finalement, en fin de journée, la réponse tombe. Joint par un internaute, le directeur de la société Star Service est formel, son employé Y est bien la personne qui a inséré le tract dans le sac. Il est convoqué chez son employeur pour une « explication ».

Conclusion ?
 
Cette tartufferie de militantisme du BDS montre bien leur non employabilité. Quel patron voudrait embaucher un salarié qui du jour au lendemain peut entrainer l’image de marque de son employeur dans une vendetta 2.0 ?
Le seul problème dans tout ça, c’esta qu’en restant au chômage, les militants BDS vont avoir plus de temps pour trainer devant les rayons cachers des supermarchés… mais on compte sur les magasins, plus qu’agacés par ces rassemblements illégaux, pour prendre leurs responsabilités et montrer gentiment la sortie à ces activistes du rayon pastrami.

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