Impossible d’être passés à côté du coût faramineux de Pessah cette année. Le prix outrancier des gâteaux de pessah, des matsots… le rapport prix/goût/calories n’a jamais autant été en notre défaveur. On s’est même demandé à un moment si Charles Traiteur ne cachait pas des fèves en or dans ses bouscoutous. Partout sur les réseaux sociaux, on a vu fleurir des tickets de caisse aux montants astronomiques, et ce pour un caddie de base. Oui, cette année, pour faire pessah, il a fallu péter le Codevi.
C’est simple : vous reprenez tous les prix de la semaine dernière, et vous enlevez entre 15 et 30%, et vous avez les prix post pessah. Oui, ça fait une belle différence.
Eilat, il fait tout le temps beau, mais là, ça ne va aller qu’en s’améliorant au fil des jours… à vous le bronzage caramel (pas boutargue hein, on a dit caramel).
Eh oui, les touristes se déplacent par grappes pendant les vacances scolaires et les fêtes juives. Mais là, juste là, vous avez une ouverture alors on vous le dit : foncez !
Pessah c’est fini ! Donc c’est bon, feu à volonté sur le buffet de dessert (et des longueurs de piscine pour éviter de tomber dedans).
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