On vous voit d’ici avec vos grands yeux bien ouverts en train de vous dire d’un air mi-curieux mi choque: « ils ont remis ça, ça y est ils vont encore nous énerver ». Eh bien laissez nous vous dire que non, cette fois-ci on a juste envie de vous raconter l’histoire du sexe dans le judaïsme. Allez c’est parti !
Le judaïsme, chacun le sait, promeut l’étude, la prière, l’accomplissement des mitzvot.
Une autre valeur dont on entend moins parler est le sexe. Oui cher lecteur Roots, le Judaïsme considère les relations sexuelles comme étant un acte très saint ; et qui doit être reproduit le plus régulièrement possible, en instant que cela doit procurer autant de plaisir pour le mari, que pour la femme.
Bien sûr, il y a aussi la tsniout – les règles de modestie – qui prohibent notamment les contacts physiques, entre les hommes et les femmes non mariés. Mais malgré tout, on peut dire que, sans hésitation, le judaïsme est clairement une religion sex-friendly !
La preuve ? Le taux de fécondité en Israël était de 3,04 enfants par femme en 2012. Peut-être que les « anti-sionistes » comme le BDS envient et jalousent les israéliens pour leur vie sexuelle… très active !
Bon, c’est sûr que si les israéliens ont autant d’enfants, c’est parce que les Haredim prennent très au sérieux le commandement : « Et Dieu les bénit; et Dieu leur dit: Croissez et multipliez. » (Bereshit) !
Et bien qu’il y ait chez nous, beaucoup de lois concernant le sexe, le judaïsme a cette force de ne pas y voir qu’un moyen de procréation, mais aussi un plaisir, et une des joies et des responsabilités du mariage. Il y a des commandements qui insistent sur la nécessité pour le mari de satisfaire sa femme au lit, et ça, c’est pas rien !
C’est sans oublier de dire que la tradition mystique va encore plus loin : la relation sexuelle entre deux personnes serait une réfection de la propre nature de D.ieu : l’union des aspects masculins et féminins de Elohim, facilitant ainsi la diffusion du Shefa, c’est-à-dire, de l’abondance divine dans l’univers.